L'empathie
L’empathie à travers les temps modernes
La vie de certains peut-être marquée par des exercices périlleux qui laissent des traces difficiles dans les souvenirs qui surgissent comme des bouées éloignées. Les films retracent parfois des récits étonnants et illogiques qui poussent les esprits vers des issues calquées sur l’invraisemblable qui n’est pas avouable sans l’aide de certains êtres qui sont dotés de l’empathie.
L’empathie est comme une éponge qui se remplit d’eau constituante du corps d’un autre. Elle prend vie dans le corps de celui qui est à l’ écoute et jaillit comme source d’énergie dans le regard et dans les gestes de l’écoutant. Il retourne à l’autre une part de lui-même et si les forces se complètent du plein au vide on arrive à construire comme une force qui donne corps au récit et la plénitude de la compréhension s’installe pour former un souvenir commun qui pourra alors être exprimé par les arts pour rendre des comptes aux membres des communautés constituées par les êtres d’une ou plusieurs régions.
Il est alors à même de prendre du temps pour vivre les efforts qui conduisent certains dans les cachettes des plus beaux souvenirs et de les offrir aux autres qui pourront eux-mêmes s’emparer de quelques facettes des vies pour ce qui est parlant à leur psyché et fabriquer quelque chose qui se partage intensément entre plusieurs êtres y compris les animaux (ceux qui parlent aux fleurs et se servent de l’énergie des arbres ne sont pas exclus).
Les traditions sont la marque des souvenirs qui s’effacent en laissant un tronc commun, noyau indélébile qui remplace souvent trop de souvenirs attachés aux cieux et à la terre qui nous porte. Le groupe peut lui pallier à ces manques et construire des volutes transmissibles pour éclaircir l’horizon qui aurait été bouché par l’inexactitude de faits non vérifiés par l’ensemble des sciences conjointement pour un résultat commun. A ce moment là seulement on peut parler d’assimilation de notions.
Les formes d’exclusions proviennent du non-partage des savoirs parallèles à l’écriture et à la lecture de signes qui servent d’encodage à nos pensées et travaux intellectuels. Ainsi l’énergie peut prendre un style scolaire si elle sert à la transmission de connaissances et à l’enrobage de ces connaissances comme la salive englobe le bol alimentaire mais il s’agit là de toutes petites parties propulsées en nuages autour de l’émetteur de ces pensées vers un auditoire qui comprend toutes formes d’êtres et les cieux et la terre. Pour l’instant l’émission de pensées sous formes d’ondes enrobées d’air ou de particules stellaires n’a pas été étudiée dans la plupart des classes mais c’est l’intérêt général de la vie qui transite par ces procédés.
On cherche donc à mettre cela en évidence par des mises en situations où l’on étudie les émissions et les modes de perception des pensées par immersion dans le medium contenant ses pensées qui peut se trouver dans un monde totalement virtuel pour une partie des émissions et des perceptions. Les pores de la tête et du crâne jouent un rôle primordial dans l’assimilation des pensées tout comme les oreilles, organe de l’audition d’un panel de fréquences. A l’aide de paraboles vendues en jouet à la cité des sciences on peut mettre en évidence le phénomène d’émettisation de pensées.
Isabelle Seytor et pairs in the air