Comment ne pas oublier l’origine des mouvements

Le corps peut s’exprimer gestuellement par conviction ou poussé par une, des forces extérieures. Quoi que le cerveau ait prévu de faire, la force la plus forte est celle qui donnera le résultat dans un geste pas toujours maîtrisé par l’être en action. Ainsi certains êtres entrainés peuvent donner une gestuelle induite à d’autres êtres et les conduire où ils ne seraient pas allés seuls par l’emprise de leur cerveau sur les muscles où sur ses muscles presque sans le cerveau de l’être possédé s’ il s’agit de gestes réflexes. Ces mouvements, s’ils sont ceux de robots, s’intègrent complètement dans la gestuelle biologique. Les fonctions parasympathiques ne sont pas non plus exemptes de mélanges électro-biologiques conduisant à une modification de leurs paramètres ainsi on peut vraiment dire que le souffle ou la digestion peuvent trouver comme des contraires à leur fonctionnement normal ou des accélérations et ralentissements, des blocages partiels pour terminer.

Pour la plupart des anciens praticiens en psychologie, je ne parle pas leur langage mais la vérité se fraie un chemin à l’aide des autres sciences …La possession ne saurait être oubliée plus longtemps car les êtres jusque là pris dans les méandres de la psychiatrie ont intérêt à voir surgir la vérité pour un effet positif de la morale sur le self. Le cerveau n’est pas qu’une zone géographique, il est doté de facultés ressemblant aux forces divines telles qu’elles peuvent communiquer avec n’importe quel être de la création et le muer selon ses circuits bioélectriques et intentionnels.

Les mouvements, les émotions, les douleurs et bien sûr le plaisir sont constitués en partie de charges que l’on peut mettre en commun en fonction de ses aptitudes et que l’on peut adapter en fonction du panel de fréquences réceptives et co-émettrices des destinataires. Par cela on se sert de l’empathie ou de l’emprise pour entrer en communication et en co-gestuelle et co-émotion… sur un être ou plusieurs et cela à n’importe quel endroit où qu’ il/elle se trouve par le phénomène des parloirs, si les uns sont reliés aux autres par les énergies relayées par les forces divines trop souvent escamotées par les êtres sans gêne qui remplacent les transferts ci-dessus par la prise de drogue pour oublier tout ce qui est dit ici et engendrer un monde de dégradations corporelles des uns et des autres.

Les façons utilisées dans le medium de l’air ou du vide sont de bonne ou mauvaise qualité selon la provenance de l’aide ou du geste néfaste et selon la qualité du récepteur qui peut être lui aussi un être néfaste envers la meilleure des intention mais pour s’en assurer il faut s’en remettre tout de même au divin en évitant les faiseurs de charmes plus ou moins diaboliques qui travaillent pour leur avidité destructrice. Juste une chose encore : il n’est pas souhaitable de taire ces procédés qui nous rapprochent des êtres chers quand ils sont dirigés normalement, il faut cesser de se cacher pour s’aimer entre alter-egos et profiter de ce que nous offre notre planète pour construire le meilleur et se fabriquer des souvenirs autres que de simples aléas.

Isabelle Seytor et pairs in the air

Comment ne pas oublier l’origine des mouvements

Le corps peut s’exprimer gestuellement par conviction ou poussé par une, des forces extérieures. Quoi que le cerveau ait prévu de faire, la force la plus forte est celle qui donnera le résultat dans un geste pas toujours maîtrisé par l’être en action. Ainsi certains êtres entrainés peuvent donner une gestuelle induite à d’autres êtres et les conduire où ils ne seraient pas allés seuls par l’emprise de leur cerveau sur les muscles où sur ses muscles presque sans le cerveau de l’être possédé s’ il s’agit de gestes réflexes. Ces mouvements, s’ils sont ceux de robots, s’intègrent complètement dans la gestuelle biologique. Les fonctions parasympathiques ne sont pas non plus exemptes de mélanges électro-biologiques conduisant à une modification de leurs paramètres ainsi on peut vraiment dire que le souffle ou la digestion peuvent trouver comme des contraires à leur fonctionnement normal ou des accélérations et ralentissements, des blocages partiels pour terminer.

Pour la plupart des anciens praticiens en psychologie, je ne parle pas leur langage mais la vérité se fraie un chemin à l’aide des autres sciences …La possession ne saurait être oubliée plus longtemps car les êtres jusque là pris dans les méandres de la psychiatrie ont intérêt à voir surgir la vérité pour un effet positif de la morale sur le self. Le cerveau n’est pas qu’une zone géographique, il est doté de facultés ressemblant aux forces divines telles qu’elles peuvent communiquer avec n’importe quel être de la création et le muer selon ses circuits bioélectriques et intentionnels.

Les mouvements, les émotions, les douleurs et bien sûr le plaisir sont constitués en partie de charges que l’on peut mettre en commun en fonction de ses aptitudes et que l’on peut adapter en fonction du panel de fréquences réceptives et co-émettrices des destinataires. Par cela on se sert de l’empathie ou de l’emprise pour entrer en communication et en co-gestuelle et co-émotion… sur un être ou plusieurs et cela à n’importe quel endroit où qu’ il/elle se trouve par le phénomène des parloirs, si les uns sont reliés aux autres par les énergies relayées par les forces divines trop souvent escamotées par les êtres sans gêne qui remplacent les transferts ci-dessus par la prise de drogue pour oublier tout ce qui est dit ici et engendrer un monde de dégradations corporelles des uns et des autres.

Les façons utilisées dans le medium de l’air ou du vide sont de bonne ou mauvaise qualité selon la provenance de l’aide ou du geste néfaste et selon la qualité du récepteur qui peut être lui aussi un être néfaste envers la meilleure des intention mais pour s’en assurer il faut s’en remettre tout de même au divin en évitant les faiseurs de charmes plus ou moins diaboliques qui travaillent pour leur avidité destructrice. Juste une chose encore : il n’est pas souhaitable de taire ces procédés qui nous rapprochent des êtres chers quand ils sont dirigés normalement, il faut cesser de se cacher pour s’aimer entre alter-egos et profiter de ce que nous offre notre planète pour construire le meilleur et se fabriquer des souvenirs autres que de simples aléas.

Isabelle Seytor et pairs in the air